mardi 31 mai 2011

Cake balls ou cake pops de curieux ovni sont en train d'envahir ma cuisine ! Cake balls ou Cake pops furieusement chocolat au menu !


Depuis un moment j'ai le cake balls et le cake pops qui me travaille, il faut dire que dès qu'il s'agit de patouiller et s'amuser en cuisine je ne suis jamais loin. Et en passant du côté de Magali ma participante du dessus de la ronde interblogs, je suis tombé sur une recette de Cake balls… il n'en fallait pas plus et voilà comment les balls et les pops ont commencé à envahir ma cuisine et je sens que ce n'est pas fini !
Cake balls ou Cake pops furieusement chocolat
Ingrédients :
Pour le cake au chocolat : 4 œufs - 100 g de sucre - 75 g de poudre d'amande - 100 g de farine - 1/2 sachet de levure chimique - 1 grosse càs de crème fraîche - 100 g de chocolat noir - 1 pincée de sel
Pour la crème au chocolat - 100 g de chocolat au lait - : 50 g de philadelphia ou d'un autre fromage frais similaire 2 càs de crème fraîche
Pour l'enrobage : du chocolat noir ou au lait
Commencez en préparant le gâteau. Préchauffez le four à 180°C.
Faite fondre le chocolat, ajouter la crème préalablement réchauffée et bien mélanger. Ajoutez le sucre, les œufs, la poudre d'amande, la farine avec la levure et une pincée de sel.
Versez dans un moule beurré et faites cuire à 180°C pendant 30 minutes. Vérifiez la cuisson avec la lame d'un couteau.
Démoulez et laissez reposer une heure.
Pendant ce temps, préparez la crème
Faites fondre le chocolat et le beurre à feu doux, mélangez bien. Ajoutez la crème et fouettez quelques instants. Réservez.
Préparez ensuite les "balls". Mixez le gâteau. Mélangez ces miettes avec la crème au chocolat. La texture est humide, et doit bien s'amalgamer. Formez des boulettes de la taille d'une noix (environ une douzaine de grammes).
Déposez-les sur une plaque et réservez-les au frais pendant une heure.
Faites fondre le chocolat de couverture. Roulez les balls dans le chocolat fondu avec une cuillère à café ou une fourchette à chocolat.
Décorez avec du chocolat blanc, de la noix de coco, des pistaches concassées... ou dans mon cas des amandes caramélisées concassées.
Laissez durcir au frais.
Et si vous voulez passer des balls aux pops, avant de tremper les boules dans le chocolat plantez un joli bâton dans la boule de pâte.

N'hésitez pas à passer chez Magali, là : Aud' à la cuisine ou un pas à pas explique tout ça très bien.
Et attention il vous reste jusqu'à ce soir pour participer au concours de Marie-Laure !
Mais pourquoi, pops ou balls le grand combat des cakes est parti ! est-ce que je vous raconte ça…

P.S.: Si vous ne savez pas où trouver vos bâtons de sucette et bien d'autres ingrédients pour vous amusez avec vos petits cakes pensez donc regarder du côté de la Cook-shop, les bâtons par exemple c'est là : Kit à sucettes 

dimanche 29 mai 2011

Les petites infos utiles ou inutiles de 13h13… Gontran Cherrier aime les mères et les tartes aux fraises !

Pour ceux qui ne le saurait pas encore Gontran Cherrier est un des mes boulangers préférés et dès que je passe à portée de la rue Caulincourt je sais que je vais revenir les bras chargés et la carte bleue allégée… Et cette année Gontran s'est intéressé de très près à la fête des mères et aux fraises… Alors, si vous aussi aimez votre maman ou les fraises, ou Gontran, n'hésitez pas la GC boulangerie se trouve au 22 de la rue Caulincourt dans le 18e et cette petite merveille de gâteau n'est en vente que jusqu'à… aujourd'hui !

Mais pourquoi, y'a pas ce garçon a du cœur… et pas que ! est-ce que je vous raconte ça…

Les plus chocolat des cupcakes de la cuisine de Sassenay pour un tour dans la ronde interblogs…

J'ai toujours aimé les jeux qui permettent de découvrir les autres et de s'amuser avec eux et ça depuis l'ouverture de ce blog il y a… fort fort longtemps. Du coup quand je suis tombé sur la ronde interblogs je me suis dit pourquoi pas. Et quand j'ai vu que je devais aller piocher une recette chez Magali dans sa Cuisine de Sassenay je me suis dit que j'avais bien fait de me dire pourquoi pas.
Magali a une jolie cuisine pleine d'odeurs et de jolies recettes où il n'a pas été facile d'en choisir une seule tant le choix est vaste et divers, et puis à force de chercher je suis tombé sur une recette de cupcakes ! Et là mes vieux démons m'ont repris !
Cupcakes au chocolat
Ingrédients : 200g de chocolat à 70% de cacao - 100g de beurre - 300g de farine - 180g de sucre - 50g de poudre d'amandes - 25 cl de lait - 4 œufs - 1 sachet de levure
Mélangez farine, levure, sucre et poudre d'amandes d'un coté et les œufs battus avec le lait de l'autre.
Faites fondre le chocolat avec le beurre puis mélangez-le à la préparation "humide" (œufs -lait).
Rajoutez cette préparation au mélange farine, levure, sucre et poudre d'amandes.
Mélangez bien le tout puis mettez-le dans des petites caissettes et enfournez-les pour 15min à 180°.
J'ai décoré mes cupcakes en faisant fondre de la pralinoise, des bonbons à la fraise et des petites billes de céréales colorées.
Et moi aussi je les ai décoré de pralinoise mais comme je n'avais pas de bonbons à la fraise je les ai remplacés par des petites billes craquantes.
Et pendant que je cherchais chez Magali, Aud' de Aud' à la cuisine cherchait chez moi et j'attends de voir avec une curiosité gourmande à quelle sauce elle m'a mangé…

Mais pourquoi, décidément le mot cupcake me fera toujours le même effet… est-ce que je vous raconte ça…

vendredi 27 mai 2011

Les cupcakes en folie chez Marie-Laure le 11 juin 2011 ! Save the date !

Les cupcakes sont de retour chez Marie-Laure qui me fait une nouvelle fois l'amitié de m'ouvrir sa porte pour un nouvel atelier consacré à mes petits cupcakes préférés. Alors si vous voulez venir pour mélanger, décorer et sans doute dévorer vos propres cupcakes n'hésitez pas, venez le 11 juin !
Pour tous les détails et les inscriptions c'est par là que ça se passe : Cupcakes en folie chez Marie-Laure !

Et n'oubliez pas qu'il ne vous reste plus que quelques jours pour participer au concours cake pops de Marie-Laure ! Cliquez sur la bannière pour tous les détails...


Mais pourquoi, et si je me mettais aussi aux cake pops… est-ce que je vous raconte ça..

jeudi 26 mai 2011

Et si finalement le frozen yaourt était la star de mon été ??? Frozen yaourt tout rouge à la menthe !

Je ne bouge plus, je suis un lézard, je suis à l'ombre et je ne bougerai pour rien au monde, il fait chaud, bien trop chaud pour moi. 
Si je bouge je me liquéfie, si je bouge il n'y aura plus qu'une flaque d'eau gisant là, à la place du lézard ! Je ne bougerai plus avant l'hiver ou plutôt presque plus…
Une de mes mains armée d'une cuillère, la plus petite des cuillères, la plus légère, d'un geste lent, bien lent, va et vient depuis le fond de mon frozen yaourt, un petit plaisir à faire oublier sa banquise à une tribu de pingouins, jusqu'à ma bouche. La main recommence sans cesse jusqu'à devoir racler le verre tellement il n'y a plus rien dedans… si j'avais le courage je crois que je pourrais le lécher… je pourrais !
Après je ne bouge plus, plus jamais, enfin jusqu'au prochain frozen yaourt…
Frozen yaourt tout rouge à la menthe
Ingrédients : 1 yaourt du type yaourt à la grecque – 100g de cerises congelées – 50g de framboises congelées – 2 ou 3 càs de miel - 1dizaine de petites feuilles de menthe – 1ou 2 càs de grains de grenade hachés très grossièrement
Placez tous les ingrédients dans un mixer et mixez très finement la préparation. Vous allez voir la glace se former et devenir onctueuse. N'insistez pas trop sinon vous allez faire fondre la glace. Versez la crème dans un verre bien frais et servez en saupoudrant avec la grenade et quelques petites feuilles de menthe en plus.
Il ne vous reste plus qu'à devenir un lézard heureux !
Pour avoir un frozen yaourt bien frais pensez à mettre le yaourt pendant une dizaine de minutes au congélateur avant de l'utiliser.

Mais pourquoi, le frozen yaourt ou les cakes pops… lequel sera la star de l'été… allez j'me le fais à pile ou face… est-ce que je vous raconte ça…

lundi 23 mai 2011

En avril ne te découvre pas d'un fil et va donc voir dans ton frigo ! la cuisine du frigo était à l'honneur sur Irresistable en avril et frittata… du frigo !

La cuisine du frigo n'était pas vraiment mon amie, habitué que je suis à partir d'une recette, pour la tordre dans tous les sens, avant d'aller voir ce qui se passe dans mon frigo.
Le problème avec cette manière de cuisiner c'est que forcément quand on passe la tête dans le frigo on y trouve très très rarement les ingrédients de la petite recette. Du coup, plus on cuisine plus le frigo se remplit de restes divers et variés et au final on se retrouve avec un frigo à la Prévert où la demi tomate côtoie le reste de gorgonzola et la poignée de salade… Et quand Alice, l'abeille qui nous aiguillonne sur Irresistable, a dit et si on faisait la cuisine du frigo, j'ai commencé à me demander si on ne pouvait pas faire quelque chose avec tous ces bouts de trucs et de machins qui avaient pris pension dans mon frigo !
Et voilà donc quelques-unes des recettes qui sont alors sorties du frigo… Et si vous voulez aller plus loin n'hésitez pas cliquez sur les photos pour rejoindre les recettes.
Frittata à un peu de tout qui va ensemble
Ingrédients : 6 à 8 oeufs selon leur taille – 1dizaine de petites grenaille cuites avec la peau et coupée en tranches – 1dizaine de crevettes décortiquées crues – 1 blanc de poireau coupé en fines rondelles - 50g de fromage de chèvre frais - des feuilles de menthe – des feuilles de thym citron – huile d'olive beurre - sel et poivre
Mettez un filet d'huile d'olive dans une poêle à feu moyen. Quand elle est bien chaude ajoutez les poireau et les pommes de terre et faites-les colorer en les remuant régulièrement.
Quand le mélange est presque à point ajoutez les crevettes, salez et poivrez et continuez à remuer régulièrement.
Dès que les crevettes ont pris une jolie couleur orangée ajoutez une noix de beurre et laissez fondre. Versez alors les œufs rapidement battus avec quelques feuilles de menthe et de thym dans la poêle, puis émiettez par dessus le fromage.
Laissez bien prendre sur le feu puis dès que le fond commence à être bien doré, glissez dans un four préchauffé à 180° pendant une dizaine de minutes.

Mais pourquoi, et en mai c'est fais ce qu'il te plait et va pique-niquer ! est-ce que je vous raconte ça…

dimanche 22 mai 2011

Sauvé de la chaleur par un frozen yaourt ! Frozen yaourt pêche melon et verveine

Je n'aime pas la chaleur, je n'aime vraiment pas la chaleur ! La moindre petite fraîcheur me met presque en transe à l'heure des grosses chaleurs et je la traque jusqu'à pas d'heure de la nuit, histoire de m'endormir avec l'impression que je pourrais un jour enfin avoir froid.
Je me souviens encore avec horreur de cet été lointain où ma mère avait voulu partir en vacances dans le sud du sud de l'Espagne en pleine époque des grandes chaleurs. J'avais l'impression d'avoir été transformé cette année-là en pois sauteur mexicain dans une poêle à frire ! Même le bitume devenait attachant comme si la ville entière s'était liguée pour m'empêcher de me mettre à l'ombre, pour m'empêcher de trouver un semblant de frais en m'avalant quelques litres de granité au sirop de chimie multicolore.
Je pense qu'encore aujourd'hui du côté de Grenade on doit parler de ce pobrecito sans doute croisé avec un pingouin qui arrivait à suer plus qu'il ne buvait.
Du coup, quand Adèle m'a dit que j'étais en train de louper l'arriver des frozen yaourts et que ce truc était 'pécable après la traversée d'une rue au soleil, mon oreille s'est redressée et tel le teckel devant une rôtisserie je me suis mis à l'arrêt en attendant la recette. Facile qu'elle m'a dit tu prends des fruits congelés, un yaourt avec un peu de gras dedans, tu mixes et tu manges ! Elle venait de signer sans doute le début de ma plus grande addiction… le frozen yaourt devait passer par moi et depuis il est passé et repassé et repassera encore !
Frozen yaourt pêche melon et verveine
Ingrédients : 1 yaourt du type yaourt à la grecque – 2 pêches blanches bien mûres – 1 quartier de melon d'environ 2cm – 2càs de sirop de canne (facultatif) – 1dizaine de feuilles fraîches de verveine
Coupez les fruits en morceaux assez petits et mettez le tout à congeler le temps nécessaire pour que les fruits soient vraiment congelés.
A ce moment-là mettez tous les ingrédients dans un mixer et mixez très finement la préparation. Vous allez voir la glace se former et devenir onctueuse. N'insistez pas trop sinon vous allez faire fondre la glace.
Pour avoir un frozen yaourt bien frais pensez à mettre le yaourt pendant une dizaine de minutes au congélateur avant de l'utiliser.
Ce rafraîchissement a pu être réalisé grâce au jardin d'Anne où pousse la plus parfumée des verveines ! Merci Anne !

Mais pourquoi, j'aurais pas été croisé avec un pingouin moi… heu mon père ou ma mère ??? est-ce que je vous raconte ça…

vendredi 20 mai 2011

Cadeaux gourmands ! Dix livres à gagner et sablés croustillants et parfumés au menu !

Avant j'osais le cadeau gourmand. J'arrivais souvent fièrement avec mes petites préparations faites avec mes mains dans l'espoir de toucher l'estomac et peut-être le cœur de ceux qui m'invitaient. 
Et puis un jour en arrivant chez une amie mes jolis paquets sous le bras j'ai bien senti comme un effondrement, comme un malheur éminent, comme l'ombre d'un chat noir passant furtivement sous une échelle… Et quand je lui ai dit que j'avais passé une demi-nuit à préparer un petit pot de chutney parfumé et fruité sachant qu'un voyage en Inde culinaire était prévu ce soir-là… J'ai bien senti que quelque chose…
Et puis mon regard s'est porté sur la cuisine qui gisait derrière elle, visiblement la pauvre cuisine avait été attaquée par une bande de pingouins affamés, la seule chose pouvant mettre une cuisine dans cet état. Et là sur la table trônait une chose qui avait dû être animale dans une autre vie. Alors elle a reniflé péniblement, ravalant une douleur insondable avant de lâcher un très pénible… Mon curry l'a brûlééé… avant de se transformer en fontaine neurasthénique.
Avant j'osais le cadeau gourmand.
Et puis j'ai connu une grande traversée de mon désert de remord pendant laquelle la simple pensée de cadeau gourmand me mettait la larme à l'œil en pensant à la fin tragique de ce curry-là.
Je m'y suis remis doucement en prenant bien garde de demander quelques minutes avant d'arriver mes paquets sous le bras avec un peu d'insistance… ça va ? t'es bien sûr que ça va ???
Et en recevant l'ouvrage Cadeaux gourmands, je l'ai feuilleté et j'ai découvert un chutney parfumé et fruité… Un chutney que je vais offrir prochainement à celle qui transformait l'agneau en petits cailloux, en espérant que cette fois, ça la fasse seulement rire ! Mais en attendant je me suis attrapé une furieuse envie de sablés en lisant le livre.
Sablés croustillants au fenouil et au curry
Ingrédients : 120g de farine – ½ à càc de levure chimique – 3càs d'huile d'olive – 3 càs de pignons dorés - 50g de parmesan râpé – ½ càc de graines de fenouil – ½ càc de curry en poudre – 1 jaune d'œuf
Ecrasez grossièrement les pignons et mélangez-les avec le fenouil et le curry.
Versez dans un bol la farine, la levure chimique et le parmesan, mélangez. Ajoutez l'huile d'olive et mélangez bien de nouveau. Ajoutez le mélange aux pignons.
Ajoutez alors 2 ou 3 càs d'eau jusqu'à agglomérer la pâte. Mettez-la dans du film et oubliez une trentaine de minutes.
Etalez ensuite la pâte assez finement, badigeonnez avec le jaune d'œuf légèrement coupé à l'eau, puis découpez-la avec des emportes pièces divers et variés.
Posez vos sablés sur une plaque couverte de papier sulfurisé. Enfourner dans un four préchauffé à 180° pendant une petite dizaine de minutes.
Posez sur table, revenez dix minutes plus tard et vous pourrez alors constater qu'il est temps de refaire une tournée…
Et maintenant, si vous voulez vous aussi vous lancer dans les Cadeaux gourmands et autres choses déraisonnables j'ai dix exemplaires de Cadeaux Gourmands de Bérengère Abraham et Marie-José Jarry aux éditions Album Larousse à vous faire gagner !
Pour gagner c'est tout simple il suffit de répondre à la question suivante,  Qu'aimez-vous ou qu'aimeriez-vous offrir comme cadeau gourmand ? Dans les commentaires : Vous avez jusqu'à mardi 24 à 12h précises pour répondre.
Dix d'entre vous seront alors tirés au sort et gagneront le livre, je vous signalerai les gagnants dans les commentaires dès le tirage au sort effectué.
Petite précision il faut vivre en France pour participer.
J'attends maintenant vos réponses dans les commentaires et je vais rêver des cadeaux gourmands que vous aimez offrir !
Ouvrage offert

Le concours a donc été arrêté et voilà le résultats du tirage au sort réalisé par nos amis de Larousse, on gagné l'ouvrage :
- Sabrina
- Lucie
- Noémie Lacarelle
- cel.richard.cousseau
- delf745
- Botacook
- AGNES
- Ty
- Claude
- {Nanie}
Merci à tous d'avoir participé et pour les gagnants j'attends vos mails à cette adresse : doriancuisine@free.fr afin de pouvoir vous transmettre les ouvrages. Et encore merci pour toutes vos bonnes idées !

Mais pourquoi,quoiqu'un troupeau de zébus affamés dans une cuisine c'est pas mal non plus... est-ce que je vous raconte ça...

Regioneo, gourmand par nature ! Regioneo et moi…

Je croisais régulièrement l'équipe des Regioneo depuis quelques années, de salons en dégustations, des années que ces têtus des produits régionaux ont passé à parcourir la France au rythme des saisons pour dénicher les meilleurs produits et en faire profiter leurs habitués aux meilleurs prix.
Et un jour dernier au détour d'une conversation, en prenant des nouvelles des uns et des autres, ils m'ont appris qu'il souhaitait proposer à des blogueurs de choisir le thème et les produits de leur sélection du mois et d'être le premier à ouvrir le bal pendant les trois prochains mois. Et me voilà moi aussi parti à la recherche des produits avec toute l'équipe, une équipe réactive et attentive !
Ma première sélection est donc arrivée en ce chaleureux mois de mai, une sélection que j'ai décidée de mettre aux couleurs du pique-nique ! Parce qu'il est temps maintenant, vu les beaux jours, d'aller profiter de l'herbe des prés et surtout des premiers pique-niques.
Pour cela avec Regioneo vous pourrez retrouvez le plaisir de découper un beau saucisson nature, aux herbes ou encore à la noisette, de faire passer de main en mains tartinades et pâtés ou de découvrir l'original rosé au pamplemousse, un vin de partage...
Pour le reste de la sélection, retrouvez-la sur Regioneo, elle est là : Ma sélection de mai
Et si jamais vous avez l'envie de découvrir la crème de caramel au beurre salé vous pourrez l'essayer sur une flognarde qui est déjà passée par ici parfaitement adaptée pour finir sous le caramel et dont revoilà la recette.
La flognarde aux pommes sous le caramel…
Ingrédients : 4 œufs - 12 cl de lait – 60g de crème fraîche - 80 g de sucre en poudre - 60 g de farine – 1gousse de vanille – 6 pommes – 20 g de beurre – 50g de sucre roux - un pot de caramel au beurre salé
Commencez en pelant puis en coupant en morceaux les pommes. Mettez le beure dans une poêle puis faites-y sauter les pommes à feu assez vif jusqu’à ce qu’elles soient bien colorées. Ajoutez alors le sucre roux, remuez, laissez fondre le sucre pour qu’il enveloppe bien les pommes puis retirez du feu et versez-les un moule couvert de papier sulfurisé.
Verser les œufs dans un saladier et battez-les jusqu’à ce qu’ils soient bien mélangés. Ajoutez ensuite toujours en battant et petit à petit le sucre, la farine, la crème et le lait. Coupez la vanille en deux puis grattez-la au dessus de la pâte.
Versez cette pâte sur les pommes dans le moule puis enfournez et faites cuire dans un four préchauffé à 180° pendant une quarantaine de minutes.
Passez ensuite éventuellement la flognarde sous le grill pendant 2 ou 3minutes..
Laissez tiédir la flognarde avant de servir et nappez-la généreusement avec le caramel au beurre salé légèrement tiédi.
Article sponsorisé

Mais pourquoi, en juin ne te découvre pas d'un fil… ou fais ce qu'il te plait ? C'est vraiment en juin ça ? est-ce que je vous raconte ça…

jeudi 19 mai 2011

Entre Gü et moi c'est une vieille histoire…Gülicious moelleux à la meringue framboisée !!!

Entre et moi c'est une vieille vieille histoire qui date de l'Angleterre de du temps où la marque n'avait pas encore décidé d'envahir le monde et où il fallait donc traverser le Channel pour avoir la moindre chance de s'attaquer à ces terrifiantes gourmandises très chocolatées.
Immanquablement quand nous allons en Angleterre la première chose que nous faisons à peine débarqués du bateau c'est de chercher le premier Waitrose venu. Waitrose c'est notre faiblesse à nous, notre Angleterre qui se mange en concentré, notre petit paradis en quelque sorte ! Du coup nous faisons ce petit pèlerinage gourmand à chacun de nos voyages et à force je crois que nous pourrions tracer la carte d'Angleterre des Waitrose.
Une fois à l'intérieur, c'est aussi le même rituel, c'est à celui qui mettra le plus de chose dans le chariot et de préférence sans même prendre le temps de regarder ce qu'on met ! Ce n'est pas ce qu'on met qui est important puisqu'on aime presque tout, l'important c'est de remplir remplir remplir… Et inévitablement nous passons par le rayon maudit où dorment, paisibles, les Gü.
Là, Marie fait la danse du paon en commençant par un c'est pas raisonnable et en continuant de le répéter frénétiquement en remplissant sans cesse le chariot de… Gü ! Du coup quand j'ai su qu'ils arrivaient en France je n'ai rien dit et un jour je l'ai entraînée dans LE rayon où ils étaient bien rangés et ça n'a pas manqué… ce n'est pas raisonnable du tout du tout du tout qu'elle a dit avant d'empiler tout ce qui pouvait rentrer dans un train de caddie !
Il y a des petites joies dont il ne faut pas se priver…
Gülicious moelleux à la meringue framboisée
Ingrédients : 4 moelleux – 2 blancs d'œufs – 120g de sucre en poudre – du cacao en poudre – une quarantaine de framboises congelées
Commencez par réaliser une crème à meringue bien onctueuse. 
Mettez les blancs dans un batteur et battez jusqu'à obtenir une neige bien ferme. Ajoutez le sucre en laissant tourner le batteur. Arrêtez quand il est bien incorporé au blanc d'œuf.
Ajoutez un peu de cacao en poudre et mélangez de manière à marbrer la pâte à meringue.
Répartissez les framboises congelées sur les moelleux puis la pâte à meringue en faisant de jolies pics puis enfournez pendant 25minutes à 120°.
Au sortir du four saupoudrez d'un peu de cacao et décorer d'une framboise  fraîche ou deux et d'une feuille de menthe ou de mélisse.
Après ce qui va se passer ne regarde que votre gourmandise et vous…
Produit offert

Mais pourquoi, et dire que l'invasion anglaise ne fait que commencer… est-ce que je vous raconte ça…

Les petites infos utiles ou inutiles de 13h13… L'épure a 20 ans, pourvu que ça dure ! Et samedi 21 ses auteurs sont en dédicace, allez donc à leur rencontre !

L'épure a lancé il y a 20 ans une drôle d'idée, proposer 10 recettes dans un joli petit cahier, 10 recettes et pas une de plus autour d'un thème, le thon, le pain, le cochon ou le yaourt et bien d'autres… ont ainsi pris leur place dans cette collection.
Et depuis 20 ans les ouvrages de L'épure ont ainsi peuplé de plus en plus les bibliothèques gourmandes. Alors si vous ne connaissez pas encore ces petits ouvrages plein de bonnes idées ou que vous voulez retrouver leurs auteurs, n'hésitez pas, allez à leur rencontre un peu partout en France !
Voilà quelques idées… mais il y en a bien d'autres ! Pour connaître tous les rendez-vous c'est là : L'épure ça fait 20ans que ça dure !
Sabine Bucquet-Grenet dédicacera son livre Le thon, dix façons de le préparer et présentera les éditions de l'Épure à la librairie l'Usage du monde samedi 21 mai de 11h à 13h - 40 route Oberhausbergen, 67200 Strasbourg.
Hugues De Maisonneuve dédicacera ses livres Le cidre, dix façons de le préparer Le coeur, dix façons de le préparer à la Librairie gourmande samedi 21 mai à partir de 16h - 92/96 rue Montmartre, 75002 Paris.
Sophie Malagola dédicacera ses livres Le coeur, dix façons de le préparer Le lait de coco, dix façons de le préparer à la Librairie gourmande samedi 21 mai à partir de 16h - 92/96 rue Montmartre, 75002 Paris.
Véronique Chapacou dédicacera son livre La menthe, dix façons de la préparer à la librairie la 25e heure samedi 21 mai de 16h30 à 18h30 – 8 place du général Beuret, 75015 Paris.
Mais pourquoi, je crois que je vais réviser le cochon moi… est-ce que je vous raconte ça…

mercredi 18 mai 2011

L'invasion whoopies continue ! Les crunchy peanut butter and chocolat whoopies passent à l'attaque de notre gourmandise !

En ce moment je suis très whoopies, très très whoopies… très très très même !
Du coup régulièrement chez moi on assiste à un curieux ballet, dès que je trouve une idée pour un nouveau whoopie je me transforme en une sorte de lapin sautillant joyeusement dans toute la maison, je saute, je gambade, je fais les oreilles de lapin qui se dressent avec les mains, elles se dressent, elles retombent, et se redressent encore et le repart en sautillant et en criant whoopies ! whoopiiies !!!
Ma famille me regarde, un peu blasée, ils se regardent et se lancent des œillades blasées voulant dire, c'est rien il a encore trouvé une idée… une de plus…
Et ce matin en cherchant ma confiture matinale, l'œil encore hier et le caractère hirsute d'un matin habituel, en cherchant donc voilà que ma main ressort du frigo pas avec la confiture espérée mais avec un demi-pot de beurre de cacahuète qui finissait sa vie par là. J'ai failli râler et parler des ancêtres du pot en question en termes pas très sympathiques et puis la lumière du frigo s'est allumée et la mienne aussi ! Et j'ai crié whopiiies !!! et les miens r'vlà le lapin… Des fois le bonheur le matin, c'est quand même simple !
Peanut butter and chocolat whoopies
Ingrédients :
Pour les whoopies : 150g de farine – 60g de beurre –120g de sucre roux– 1oeuf - 60g de crunchy peanuts butter (beurre de cacahuète croustillant) – 30g de cacao – ½ càc de bicarbonate  de soude – 1càc de levure chimique – 1 ou 2càs de lait
Pour la garniture : 150g de chocolat noir – 60g de crunchy peanut butter – 150g de crème fraiche liquide
Pour décorer : du chocolat noir
Commencez en préparant la garniture. Faites fondre le chocolat et réchauffer le crunchy peanuts butter et la crème fraîche au micro-ondes.
Versez la crème sur le chocolat en deux fois en mélangeant bien à chaque fois. Ajoutez le crunchy peanuts butter et mélangez bien.
Laissez reposer au frais le temps de préparer les whoopies et battez bien avant d'utiliser.
Battez ensemble le beurre, le sucre et le crunchy peanut butter. Ajoutez l'œuf et battez de nouveau.
Ajoutez la farine, le cacao en poudre, le bicarbonate et la levure et mélangez le tout.
Ajoutez le lait et mélangez encore. La pâte est bien épaisse.
Versez la pâte sur une table farinée et faites des petits tas d'environ 20g. Roulez les tas en boules puis écrasez-les en palets sous la paume de la main.
Posez-les au fur et à mesure sur une plaque couverte de papier sulfurisé.
Une fois toute la pâte utilisée enfournez la plaque pendant 10 à 12 minutes dans un four préchauffé à 180°.
Ensuite vous n'avez plus qu'à garnir vos whoopies avec la garniture, personnellement j'ai ajouté une petite noix de crunchy peanut butter au centre de la garniture. Collez les whoopies deux par deux.
Puis si vous voulez décorez-les avec du chocolat fondu.
Après vous n'avez plus qu'à vous transformer en lapin joyeux en criant whoopies ! whoopiiies !!!

Mais pourquoi, bon et si je faisais le kangourou joyeux ça les changerait peut-être… est-ce que je vous raconte ça…

mardi 17 mai 2011

Les pintades sont de retour ! Recherche gagnantes désespérément et petite recette de… pintade aux couleurs de l'été !

Certaines pintades auraient-elles perdues la tête ??? 
En tout cas après avoir crié au et fort leur pintatitude, certaines ont gagné Une vie de pintade à Berlin, de  Cécile Thibaud aux Editions Calmann-Lévy Dominique, Audrey, Marie, Coralie, et Anne-Hélène et Anne-Hélène a oublié de me laisser son mail ! D'autres on gagné Une vie de pintade à Madrid,  de Hélène Kohl aux Editions Calmann-Lévy L'étudiante, Maïlys, Milica, Magalo et Manuella, et Magalo et Manuella aussi ont oublié de laisser l'indispensable mail… Mais rien de grave puisqu'il suffit de me l'envoyer là : doriancuisine@free.fr vite vite avec vos coordonnées et vous recevrez très très vite vos livres !
En attendant une petite recette de pintade amicale et parfumée.
Pintade en ballade dans le sud
Ingrédients : une pintade amicale – 6 tranches de lard bien fines – 2 belles poignées de tomates cerise – 4 gousses d'ail en chemise (avec la peau) – 1 bouquet de thym citron et quelques tiges de romarin – ½ citron confit – huile d'olive - sel et poivre
Commencez en salant et poivrant légèrement l'intérieur de votre pintade. Puis farcissez-la avec la moitié des herbes, deux gousses d'ail et le citron confit coupé en quatre.
Salez très légèrement et poivrez l'extérieur de la pintade. Couvrez le dessus de la bestiole avec le lard puis ficelez le tout.
Posez la pintade dans une cocotte pas trop grande et ajoutez les tomates cerise, les herbes et l'ail restant puis versez un joli filet d'huile d'olive.
Enfournez dans un four préchauffé à 180° pendant une cinquantaine de minutes en arrosant régulièrement ou en la retournant délicatement. Ajustez le temps de cuisson selon la taille de la volaille.
Quand elle est bien cuite laissez-la reposer quelques minutes puis dévorez-la sans attendre.
Mais pourquoi, souvent je me sens l'âme d'un pintadeau moi… étonnant non… est-ce que je vous raconte ça…

P.S.: la pintade est très très à la mode chez moi et je manque de recettes donc n'hésitez pas à laisser les liens vers vos recettes si vous avez un blog ou directement vos recettes si vous n'en avez pas !

lundi 16 mai 2011

Tartelettes aux pêches croustifondantes et ouverture de la saison des pique-niques des blogueurs à Paris ! Vous venez ???

 Je le sentais depuis un moment… ça montait, ça montait, comme un besoin furieux et impérieux de chlorophylle était en train de me prendre. C'est à tel point que des fois au beau milieu d'une rue je me mettais subitement à quatre pattes à la recherche du moindre bout d'herbe, du moindre petit brin qui aurait survécu entre les dalles de goudron, là seul à m'attendre, à me tendre ses petits bras tout verts...
Moi l'urbain qui suivait les camions parisiens comme enivré par les bons relents de diesel à l'état pur. Moi qui aurait volontiers échangé ma carte bleue contre une carte orange et qui me faisait une ligne juste pour le plaisir, la porte Saint Cloud porte de Montreuil, une bien longue avec plein de beaux tunnels aux si bonnes odeurs parisiennes… Moi, j'étais en manque de vert !
Et pourtant pendant longtemps le mot nature m'avait provoqué grattements et hoquètements et le seul fait qu'il existe des endroits dédiés entièrement aux fleurs et autres choses qui poussent dedans la terre me faisait douter du genre humain.
A cette époque des mots comme bottes en caoutchouc, sécateur ou week-end à la campagne me provoquaient des crises d'asthme. Je préférais lisser le zinc parisien d'un coude attentif en ventant les mérites de la ville du matin jusqu'au soir et surtout du soir au matin tôt. Je ventais ses rues enfumées et bruyantes où les arbres, ces trucs en bois avec de ridicules plumeaux verts, n'étaient pas encore adulés comme s'ils étaient la seule chance de survie de notre espèce.
A cette époque je vivais heureux protégé que j'étais par le périphérique et en oubliant qu'il y avait autre chose après… Après de toute manière, c'était la sauvagerie animale et je frissonnais d'horreur en imaginant que l'on puisse me pousser dehors, hors de ma ville !
Et puis il y a quelques années avec une poignée de passionnées et de passionnés nous nous sommes retrouvés pour un premier pique-nique sur l'herbe… Bien sûr prudemment cette première fois j'avais mis un plaid bien épais tout en synthétique entre le vert grouillant et mes fesses. Mais petit à petit occupé que j'étais à prendre plaisir avec eux, avec ces premières et ces premiers, j'ai oublié, je me suis oublié, j'ai oublié l'urbain. Et j'ai même fini par caresser cette herbe sur laquelle j'étais posé… et ça m'a paru presque aussi doux qu'une moquette… et j'ai aussi presque oublié les monstres terrifiants qui pouvaient y vivre… presque oublié.
C'est comme ça que je me suis attrapé le plaisir du vert sur lequel on pique-nique et c'est comme ça qu'année après année, rendez-vous avec vous après rendez-vous, finalement j'en arrive à être en manque d'herbe quand le temps des pique-niques arrive.
Et j'espère qu'à vous aussi ça vous fait un peu ça et que vous aurez envie de nouveau de venir partager, échanger et manger sur… l'herbe ! Et comme toujours nous avons donc rendez-vous les premiers dimanches de juillet et d'août.
Tartelettes croquantes aux pêches fondantes
Ingrédients pour 4 pièces :
Pour les tartes : 250g de farine – 140g de beurre – 70g de cassonade – 30g d'amandes effilées – 1 œuf – 8 petites pêches blanches mûres à point – quelques brins de romarin
Pour la garniture : 8càs de mascarpone – 8càs de crème fraîche liquide – 4càs de sucre glace – 2càs d'amandes en poudre – 4càs d'amandes effilées légèrement grillées
Commencez en réalisant le fond de tarte. Battez ensemble 120g de beurre mou avec 50g de cassonade. Ajoutez la farine et les amandes effilées que vous aurez écrasées entre vos doigts. Ajoutez enfin l'œuf rapidement battu. Faites une jolie boule, puis coupez-la en quatre et reformez quatre boules.
Ecrasez les boules de pâte avec la paume de la main sur un papier sulfurisé, donnez lui une forme rectangulaire.
Pelez et coupez en quartier les pêches et répartissez-les sur la pâte.
Saupoudrez chaque tartelette avec quelques brins de romarin, 10g de beurre en tout petits cubes et 5g de cassonade.
Enfournez pendant 15 à 20 minutes dans un four préchauffé à 180°.
Pendant ce temps réalisez la crème en battant ensemble le mascarpone, la crème, le sucre glace et l'amande en poudre.
Au sortir du four, laissez tiédir, puis répartissez la crème sur les tartelettes et terminez en saupoudrant le tout avec les amandes effilées. Mangez vite !
Et maintenant le mode d’emploi des pique-niques, le qui, le quand, le pourquoi, le quoi et tout l'toutim, toutes les propositions pour les pique-niques parisiens... Et si vous voulez voir les précédentes éditions c'est là, là et là...
- Qui vient ? Les amateurs de blogs… ceux qui ont un blog et ceux qui aiment les lire ! Et on peut venir avec amies, maris, amants, grand-mères, oncles, enfants… ou tout seul ! mais pas d'animaux… interdits dans les jardins de Bercy…
- Quand vient ? Les dimanches 3 juillet (pour que ceux qui sont ensuite en vacances puissent aussi participer…) et/ou  le 7 août à partir de midi… mais vous pouvez arriver plus tard ! Nous y serons jusqu'à… je pense la fin de la sieste mais chacun peut partir quand il le veut bien sûr.
- Où vient ? Dans les jardins de Bercy (nous serons sous la croix sur la 'tite carte) accolés au métro Cour Saint-Emilion (ligne 14) ou Bercy un peu plus loin… ne vous inquiétez pas cette partie du jardin n'est pas gigantesque et sur l'herbe un tas de blogueurs ça se voit !
- Pourquoi vient ? Pour être ensemble et manger un bout…
- Avec quoi vous vient ? Chacun prend son pique-nique, et ça peut être un casse-croûte jambon beurre… et pour les plus courageuses ou courageux, elles ou ils peuvent prendre quelque chose de plus, une boisson, un truc salé, un truc sucré… un truc quoi… à faire goûter à ceux qui sont autour. Ne faites pas pour 15, pour 2 ou 3 c'est déjà bien ! Eventuellement un truc pour manger dessus (nappe, plaid, couverture…), mais l'herbe pour pique-niquer c'est bien aussi !
- Avec quoi moi viens ? Avec un stock d'assiettes, en carton mais avec des petites fleurs, de gobelets et de couverts, en plastique sûrement… donc n'apportez pas tout ça à moins que vous ne vouliez manger dans votre vaisselle en porcelaine et vos verres en cristal !
Des idées, des questions, des suggestions à vous de jouer maintenant ! Et si vous avez vraiment peur de ne pas nous trouver n'hésitez pas à m'envoyer un petit mail je vous dirai comment faire sonner mon portable ,-)!!!

Si vous voulez reprendre le logo du pique-nique, vous pouvez mais aucune obligation bien sûr !

Mais pourquoi, et voilà que la danse du soleil va revenir à la mode... est-ce que je vous raconte ça...

dimanche 15 mai 2011

Quand la cuisine végétarienne entre dans ma cuisine c'est qu'Adèle n'est pas bien loin… Salade tiède végétarienne et réjouissante au menu !

Souvent quand j'ai un problème avec une recette… Enfin quand mon problème c'est justement de trouver LA recette, que mon cerveau atteint presque l'état de court bouillon et que je commence à penser que le train de côtes de zébu pourrait être une bonne idée de base… 
Quand je suis donc proche de créer une sorte de gloubiboulga préhistorique, il me reste quelques fois suffisamment de clairvoyance pour d'abord demander à Adèle ce qu'elle en pense. Là, je lui expose LA recette en termes choisis et raisonnables...
Je vais te la raconter tu vas voir c'est du mégahypertiptop ce que j'ai trouvé ! que je commence à dire histoire de mettre en confiance et puis après j'expose sans m'emballer… Enfin il arrive que je m'emballe un peu quand même des fois mais c'est que le train de côtes de zébu enrubanné à la fondue de glands sauvages ça mérite de l'emballage non !
A l'autre bout du fil à ce moment là j'entends souvent une sorte de silence pesant avant qu'Adèle commence par un intrigant, t'es sûr que tu t'emballes pas quelque peu là ?
Après petit à petit, un ingrédient après l'autre nous revoyons LA recette tranquillement et surtout sans emballage, une révision régulièrement ponctuée par les attends attends j'ai une idée là ! d'Adèle.
Au final quand je raccroche, la chasse au zébu est oubliée et je me retrouve à la place avec une jolie recette tout en fraîcheur et je suis passé de la préhistoire à l'air du temps. Avec Adèle les choses deviennent simples.
Aujourd'hui je n'ai pas eu besoin de lui demander conseil pour trouver LA recette du jour, celle qui a fait mouche chez moi, celle qui va rester comme la salade tiède Adèle, comme il y a déjà eu le poulet Adèle ou le curry Adèle ou le… 
Celle qui va rester ne doit donc rien à nos petites conversations culinaires puisque je n'ai eu qu'à ouvrir son tout dernier livre, Cuisinière Végétarienne de Adèle Hugot aux éditions Stéphane Bachès. Je l'ai trouvée à la première page, de ce livre qui ressemble à un joli carnet de recettes grâce auquel manger des légumes devient ludique et réjouissant !
Pois chiches, courgettes grillées et fromage de chèvre en salade tiède
Ingrédients : 2 petites courgettes – 1càs d'huile d'olive – 50g de fromage de chèvre sec mais pas trop quand même – 250g de pois chiches cuits égouttés – 1belle tomate cœur de bœuf – ½ citron – 1trentaine de petites feuilles de menthe – sel et piment d'Espelette
Lavez les courgettes, coupez leur la tête et la queue puis détaillez-les en fines lanières à l'économe.
Lavez la tomate enlevez le pédoncule et coupez-la d'abord en tranches puis en petits cubes.
Râpez le zeste du citron sur une assiette puis pressez-le dans un bol.
Mettez une poêle à feu bien vif, ajoutez l'huile et dès qu'elle commence à peine à fumer jetez-y les courgettes. Salez légèrement et laissez cuire trois minutes en remuant régulièrement et délicatement les courgettes. Ajoutez les pois chiches et poursuivez la cuisson pendant trois nouvelles minutes.
Versez le contenu de la poêle dans une grande assiette et sans attendre ajoutez la tomate et le jus de citron. Remuez rapidement toujours avec délicatesse.
Parsemez ensuite le chèvre que vous aurez émietté avec une fourchette, le zeste de citron, les feuilles de menthe, quelques pincées de piment et un joli filet d'une belle huile d'olive bien parfumée. Mangez sans attendre !
Vous pouvez aussi retrouver les aventures gastronomiques d'Adèle sur son blog : Gossip'Food in Paris 

Mais pourquoi, c'était pourtant bien le zébu… non, c'était pas bien ? est-ce que je vous raconte ça…

samedi 14 mai 2011

Rencontre avec l'Italie d'Alba Pezone tome 1 recette minute à déguster sans fin… la fett'unta un plaisir de pain !

Des fois il n'y a pas besoin de beaucoup de mots, et Alba Pezone n'en utilise pas toujours beaucoup, ses mains parlent souvent pour elle, pour transmettre une recette surtout quand elle a la simplicité de celle-ci. 
Par contre pour transmettre du plaisir c'est souvent beaucoup plus compliqué, beaucoup beaucoup plus compliqué, mais ça aussi avec toujours si peu de mots et quelques sourires de plus Alba Pezone sait le faire. Et si les recettes que nous avons découvertes avec elles ont tout de la simplicité, elles ont aussi tout d'un plaisir sans fin.
La fett'unta est donc un simple pain, mais aussi une petite merveille qui va vous entraîner directement du côté de la Toscane et si jamais vous avez quelques tranches de mortadelle qui traînent par là, n'hésitez pas ! Mais attention du coup vous risquez de vous attraper vraiment une sacrée envie d'Italie !
Fett'unta
600g de pâte à pain (pour faire 2 portions, une grande-22x30- et une petite -18x18-) – du romarin frais – de l'huile d'olive, pour cette recette j'ai utilisé de l'huile Carapelli Il Nobile, en tout cas utilisez une huile bien parfumée – de la fleur de sel – du poivre
Commencez en huilant légèrement au pinceau vos plats métalliques. Farinez votre table et étalez bien votre pâte, attention seulement à la main pas question de sortir le rouleau à pâtisserie pour ça.
Quand la pâte est bien grande, posez-la dans le plat et toujours délicatement étalez-la jusqu'à le remplir complètement.
Piquez la surface avec une fourchette. Versez un joli filet d'huile sur la pâte, soyez généreux. Saupoudrez le tout avec du romarin et du sel.
Enfournez dans un four préchauffé à 250° pendant 15minutes.
Poivrez à la sortie du four, moi j'ai oublié, puis coupez en beaux carrés croquants et odorants et vous allez voir, la fett'unta à une tendance à la disparition plus que rapide !
Produit offert
Et comme pour moi la cuisine c'est d'abord des rencontres et du partage un petit mot, toujours le même, merci à tous ceux, nombreux, qui ont pris de mes nouvelles pendant la période où Blogger a connu quelques jours d'absence !


Mais pourquoi, je me demande si je ne commence pas à avoir des envies de pique-nique moi… est-ce que je vous raconte ça…

mardi 10 mai 2011

Whoopies ! Whoopies ! Whopiiies !!! Les whoopies envahissent le monde… ou en tout cas arrivent dans nos cuisines ! Et whoopies au praliné noir !

Dans la bouffe comme partout ailleurs il y a des modes, des petites, des grandes, celles qu'on ne voit pas arriver, celles que l'on évite ou que l'on croit éviter... Plein de modes de tous genres.
Et nous, on pense que l'on décide de ce qu'on mange, de ce qu'on veut comme on veut, j'aimerai le penser en tout cas.
Et puis on se retrouve à une table avec d'autres mangeurs et forcément on parle bouffe… forcément.
Là, tout fiérot qu'on est, on fanfaronne en parlant de sa petite découverte, de ce petit produit qu'on a trouvé tout seul, qu'on est le seul même, l'unique ! Alors on se lance, vous savez quoi hier j'ai préparé un ragout de palmes d'ornithorynque et avec du paprika indo-moldave, le paprika bleu mers du sud… On attend son petit effet et là, celle de gauche vous dit que les palmes d'ornithorynque elle trouve ça très surfait depuis que sa belle mère lui en a fait un plat à l'alsacienne et celle de droite qu'en ragout c'est bien mais qu'en brochette c'est mieux et une troisième s'étonne que vous utilisiez encore ce paprika-là alors que le turco-slave, le vert fond d'océan, va tellement mieux avec l'ornithorynque… Et subitement vous vous sentez seul avec votre ornithorynque… subitement si seul… Et là même l'ornithorynque ne lève même pas un ongle pour vous soutenir.
Un jour de l'année dernière j'ai vu mon premier whoopie au détour d'une page de Délicious, alors j'ai sauté sur mon téléphone pour appeler Birgit une de mes complices de découvertes, tout papillonnant de joie que j'étais de ma découverte… Et juste avant que je ne prononce le mot magique, je l'entends me couper pour me dire, j'allais justement t'appeler je viens de découvrir un truc… Là je savais que le mot suivant allait être… whoopie !
Depuis, ces drôles de petits ovnis ont envahis nos deux cuisines et régulièrement nous échangeons nos drôles d'idées. Et aujourd'hui voilà un de ces whoopies qui vont envahir bientôt votre cuisine… à moins qu'ils y soient déjà, tapis dans l'ombre, à vous attendre !
Whoopies au praliné noir
Ingrédients : 120g de sucre roux - 100g de beurre mou - 1 œuf - 240 g de farine - 1 càc de levure chimique - 8 cl de lait - 90g de praliné en poudre – 2càs de cacao en poudre - 180g de rochers pralinés noirs -180g de crème fraîche liquide entière
Commencez en réalisant la ganache qui va fourrer les whoopies. Faites fondre les rochers et réchauffez la crème. Versez la crème en deux fois sur les rochers et fouettez à chaque fois.
Mettez au frais deux bonnes heures.
Battez ensemble le sucre et le beurre jusqu'à obtenir une jolie pâte bien mousseuse. Ajoutez l'œuf puis mixez de nouveau.
Mélangez la farine et la levure et versez avec le reste des ingrédients, battez le tout.
Ajoutez le lait tout en battant en même temps.
Ajoutez le cacao et 60g de praliné et battez une dernière fois.
Versez votre pâte dans un film alimentaire et laissez une bonne heure au frais.
Faites de petites boules de pâte de la taille d'une noix, aplatissez-les un peu puis posez-les sur du papier sulfurisé. Recommencez l'opération autant de fois que nécessaire. Si la pâte est trop collante n'hésitez pas à vous fariner très légèrement les mains.
Saupoudrez la moitié des whoopies avec le praliné restant.
Enfournez à 175° pendant une douzaine de minutes.
Laissez refroidir les whoopies. Quand ils sont bien froids garnissez –les avec la ganache, utilisez pour cela une poche à douille ou une simple cuillère, vous n'avez plus qu'à les déguster.
Cette recette a déjà été publiée sur : Je suis unique où vous pourrez retrouver l'article de Sophie Kune.
Et si vous voulez en savoir plus sur les whoopies direction 750g : Les whoopies, une drôle de Success Story qui commence par un cri de joie...

Mais pourquoi, le whoopie tapi dans l'ombre… des fois j'me demande quand même… est-ce que je vous raconte ça…

lundi 9 mai 2011

Des pommes, l'été, des mésanges et une pavlova aux couleurs de l'été, la pavlova aux petites pommes d'amour !

Ce que j'aime quand je reçois de nouvelles des vergers de par là-bas, Le Verger de La Blottière, c'est que souvent avant même que l'on s'inquiète des pommes, des recettes et de toutes ces choses, on me donne des nouvelles du temps qui passe, de la beauté de l'été qui s'approche, des fleurs qui s'ouvrent un peu plus tôt que l'année d'avant et des mésanges qui veillent sur les pommiers… Ce que j'aime ce sont ces petits moments et bien sûr, après, croquer une pomme…
Et avec mes pommes j'ai eu envie justement d'un dessert au goût d'été et de robes qui tournent joyeusement et forcément tout ça s'est fini par une pavlova…

Pavlovas aux petites pommes d'amour
Ingrédients pour six petites pavlovas :
Pour la garniture: 4 à 5 pommes Délisdor - 10g de beurre - 60g de sucre en poudre – 1 pincée de colorant rouge – 3 ou 4 càs de groseilles - 30g de pistache émondées – 2 douzaines de petites feuilles de menthe
Pour les meringues : 3 blancs d'œufs – 180g de sucre en poudre
Pour la crème : 30cl de crème liquide entière – 2càs de sucre glace – 1 belle càs de mascarpone
Commencez par les meringues. Mettez les blancs d'œufs dans la cuve de votre batteur et battez-les en neige bien ferme. Ajoutez le sucre sans arrêter de battre et poursuivez jusqu'à obtenir un mélange bien lisse et onctueux. Avec cette crème faites 6 à 8 petits tas avec de jolis pics sur un papier sulfurisé posé sur une plaque de four, pensez à creuser un peu le centre.
Mettez au four préchauffé à 110/120° pendant environ 1h.
Pendant ce temps, montez la crème et le sucre glace en chantilly bien ferme. Ajoutez le mascarpone et battez le tout assez rapidement.
Préparez ensuite les mini-pommes d'amour. Avec une cuillère à melon évidez des demi-sphères dans les pommes, il vous en faut trois par pavlova. Faites chauffer le beurre dans une poêle et faites rapidement dorer les morceaux de pomme à feu moyen. Réservez-les.
Versez le sucre en poudre de la garniture dans une petite casserole avec 1càc d'eau et laissez fondre le sucre à feu doux. Dès que le sucre est bien fondu sans colorer, retirez du feu puis ajoutez le colorant rouge et mélangez bien. Trempez alors la partie sphérique des pommes dans le caramel, pour cela plantez vos morceaux de pommes sur un pic en bois et faites attention le caramel est très très chaud. Laissez tiédir le caramel en tournant le pic en bois. Recommencez l'opération pour chaque morceau de pomme, n'hésitez pas à réchauffer le sucre si nécessaire.
Passez les pistaches au mixer, n’insistez pas trop.
Quand les meringues sont cuites laissez-les refroidir avant le montage.
Pour le montage mettez une jolie couche de crème fouettée sur les meringues puis les pommes, les groseilles, la pistache et les petites feuilles de menthe. N'hésitez pas et surtout mangez sans attendre.
Pommes offertes

Mais pourquoi, je me demande si je ne vais pas devenir adict'o'pomme moi à force… est-ce que je vous raconte ça…

samedi 7 mai 2011

Le Comté, Gontran et moi... Et vos recettes pour le chalenge Comté !

Quand on rencontre un fan de Comté comme Gontran Cherrier, mon parrain dans ce challenge printanier, on parle de Comté et de pain, de pain et de Comté et il suffit de dire un mot pour ne presque plus pouvoir l'arrêter… le mot, c'est Comté bien sûr !
Si je te dis Comté qu'est-ce que tu me réponds ?
Le Comté c'est quasiment pour moi un fromage au quotidien, déjà j'adore ça, je l'aime beaucoup ne serait-ce que pour sa texture son odeur, son goût bien sûr…
Après chez moi pour la boulangerie je l'utilise pour pas mal de choses, j'ai une tarte au parmesan et dessus je mets du Comté. C'est une pâte sablée au parmesan sur laquelle je mets donc du Comté et des oignons rouges. Il y a ce côté onctueux du Comté qui est hyper intéressant surtout face au croustillant de la pâte et aux oignons.
Le Comté c'est plutôt plateau de fromages ou plutôt cuisine ?
Pour moi c'est les deux, j'aime beaucoup l'utiliser en cuisine parce que ça apporte une spécificité, j'ai complètement banni le gruyère. Le Comté apporte son côté noisette, vraiment fruité, avec un vrai caractère et une vraie subtilité, il apporte une véritable différence. Ça, c'est vraiment chouette et c'est pour ça que je l'utilise beaucoup pour la boulangerie.
Après, en terme de plateau de fromages j'en ai toujours, quelque soit l'affinage. J'aime le jeune parce que c'est facile à manger mais en revanche quand j'ai des amateurs j'aime bien pousser un peu et proposer un Comté qui a un caractère un peu plus marqué. Mon fromager, c'est Laurent Dubois et j'ai toujours de bonnes surprises avec lui, c'est vraiment un très grand fromager.
Quelle est ton association préférée avec le Comté ?
Il y a plusieurs choses que je propose avec le Comté quand il s'agit de le proposer sur un plateau de fromage, ma baguette aux céréales qui se marie particulièrement bien avec ou alors mon pain au miso. Ça peut paraître plus étonnant mais ça fonctionne très bien avec le Comté.
En préparation dans ma tarte, je trouve que l'oignon et le Comté se subliment vraiment. Je pense que l'on pourrait aussi faire une fondue d'oignons rouges au vinaigre comme un chutney et le servir avec le Comté, je pense que ça serait vraiment top !
Un truc ou une idée autour du Comté ?
Avec Benjamin à la Favela, on avait un hamburger avec un buns au paprika très moelleux et ça c'était vraiment très intéressant. Avec la spécificité du paprika, c'est un peu piquant et en même temps ce n'est pas violent, c'est puissant en goût mais ce n'est pas fondamentalement fort, c'est quelque chose que tu sens tout de suite. 
Ce qui est bien c'est d'avoir le côté bien fondant du pain et une viande un peu cuite et le Comté qui vient par-dessus apporter sa personnalité.
Une petite recette minute pour finir ?
Du pain bien sûr, du pain que tu coupes en tranches. Ensuite tu le frottes bien avec une pointe l'ail et tu vas le rouler dans le paprika. Après tu n'as plus qu'à le couvrir de Comté et juste le passer au four et là tu as une tartine qui va parfaitement accompagner un apéritif.
Vous pouvez retrouver les pains de Gontran Cherrier et bien d'autres choses au 22 rue Caulaincourt Paris, 18e n'hésitez pas, vous allez découvrir que le pain peut prendre bien des formes et bien des goûts !
Et voilà les recettes que nous avons sélectionnées pour le Challenge Comté  (cliquez sur les photos pour rejoindre les blogs participants) parmi la quinzaine de recettes  qui me sont arrivées, merci, merci à tous d'avoir joué le jeu ! Et maintenant à vous de choisir vos préférées ! Pour voter c'est ici : Le chalenge Comté
Bagel Vanille au comté et Saumon
Comté moi fleurette !
Lunch Bred Comté
Pain au Blé noir et Comté

 
Verrine de printemps au Comté gratiné
Article rédigé en partenariat avec la collective du Comté.
Crédits photos : Eric Morin et Marie Taillefer

Mais pourquoi, décidément je n'arriverai jamais à me rappeler... le Comté on l'aime sans... j'y arriverai ! Est-ce que je vous raconte ça...